Les uns se félicitent d’avoir fait bouger les lignes. Les autres continuent de fulminer contre la déferlante réglementaire qui s’abat sur eux. D’autres encore dénoncent la vision manichéenne qui prévaut : gentils consommateurs contre méchants professionnels.
Evidemment, la réalité est moins caricaturale et les débordements ont lieu d’un côté comme de l’autre. Reste que la loi ALUR, qui réforme l’ensemble des règles régissant les professions immobilières, définitivement votée par le Parlement va s’imposer d’ici peu à tous.
Et qu’il convient de faire attention aux réactions épidermiques qui traduisent avant tout la peur du changement. Se laisser gouverner par l’inquiétude n’est pas forcément la seule option.
Certains comme Henry Buzy-Cazaux (p. 10) ou François Moerlen (p. 24) se démarquent d’ailleurs par une vision moins anxiogène de la situation.
Notre dossier (p. 20) fait le point sur les grandes lignes de la loi concoctée par la ministre de l’Égalité des Territoires et du Logement, Cécile Duflot.
Pour vous aider à aller de l’avant, nous vous proposons un nouveau rendez-vous consacré à la gestion de votre entreprise (p. 30).
Vous voulez soigner au mieux vos clients ? Suivez donc une formation vous permettant de devenir courtier en crédit (p. 18).
Vous voulez attirer les clients dans votre agence ? Mettez-vous aux nouvelles tendances en terme de vitrines (p. 34).