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La nécessaire (r)évolution des agents immobiliers

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L’immobilier évolue et tout l’écosystème est impacté. Les vendeurs et acquéreurs attendent autre chose. Les méthodes de communication et les prix ont changé, tout est en mouvement. La profession, comme notre bonne vieille Terre, fait ses révolutions sans que l’on s’en rende compte. Sauf si l’on en devient moteur.

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Un métier en prise directe avec son époque

On en trouve encore. Des conseillers qui ont passé des annonces immobilières dans la presse. Ces annonces payées au caractère. C’était avant la démocratisation d’Internet. « Le Comte de Monte-Cristo » par exemple nous rappelle comment se déroulait un achat immobilier au XIXe siècle, quand Edmond Dantes fait acquisition de sa maison d’Auteuil. Les choses ont tellement évolué. Il n’y avait pas de Tracfin, pas de diagnostics.

En effet, les professions immobilières sont en lien avec leur époque. Cyberpiratage, blanchiment et danger climatique sont des notions récentes, même par rapport à la loi Hoguet. Quand on pense que la loi ALUR a plus de 10 ans, cela ne nous rajeunit pas. S’il était possible d’ouvrir son agence et de vivre convenablement il y a encore 15 ans, c’est aujourd’hui de plus en plus difficile. On peut notamment évoquer le statut de salarié en avance sur commission qui disparaît, ou encore certaines franchises qui connaissent des revers malheureux. La « routourne » de Franck Ribéry tourne et tournera encore.

Des conseillers et des agents toujours plus polyvalents

Sur le terrain, face à des clients toujours plus exigeants, le métier lui aussi évolue. Il faut savoir s’adapter. Attention, ce n’était pas mieux avant. Il faut éviter de tomber dans le piège des réseaux sociaux. On est rapidement tenté de pleurnicher en statut Facebook, autre signe des temps. La réalité est que chaque métier a ses hauts et ses bas. Ceux de la profession immobilière ont cela de spécifique qu’ils sont particulièrement hauts et particulièrement bas. C’est notre salaire mensuel qui se joue quand un acquéreur disparaît après avoir signé une promesse qui pourtant l’engage. Mais il revient aux conseillers de se former et de prendre le temps de faire de la pédagogie. Oui, en plus de tout ce qu’ils font déjà. Il semble que l’exercice de l’immobilier s’étoffe. Nous ne sommes pas des « porte-clefs » mais des couteaux suisses pour faire taire les détracteurs de la profession. Comme dans tous les métiers, il y a des bons conseillers et des mauvais. La réalité se chargera de renvoyer ces derniers vers d’autres horizons.

Agence ou conseiller en réseau de mandataires, même combat. On en arrive à une « Pax Romana ». Il ne s’agit plus de contester un statut ou l’autre. Des agents immobiliers se muent en indépendants en réseau pour mieux se défendre sur le marché et bénéficier de plus d’outils. Des conseillers indépendants font des VAE pour devenir agent immobilier. Et tous ces professionnels sont au service de leurs clients. Ainsi avance l’immobilier pour ceux qui ne perdent pas de temps en conjectures et gagnent plutôt des parts de marché.

Des solutions pour avancer

Récemment, le réseau Dr House Immo a communiqué sur sa solution pour les agences. Plusieurs professionnels ont choisi de s’unir à la marque nationale. Outils, suivi, service, communication, notoriété… Pour ne pas lutter seul dans son coin, il est bon de se joindre à une armée de spécialistes. C’est un calcul judicieux. Car au fond, un réseau de mandataires, c’est une agence avec une carte et une activité élargie au plan national. Les conseillers gardent leur autonomie locale en tant qu’indépendants. C’est une évolution du métier. Pouvoir faire de l’immobilier sans avoir à assumer seul les charges en lien avec les différents postes. Se regrouper est toujours une bonne idée !

Dr House Immo propose des solutions en ce sens. Car même si la profession d’agent immobilier est protégée, la finalité et l’objectif sont communs : faire en sorte d’accompagner toujours mieux nos clients dans leurs projets de vie.

Prenons l’exemple d’Uber. Lancée en France en 2012, la start-up a bousculé des codes pour les chauffeurs de taxis. La colère des titulaires de licence et les manifestations n’ont duré qu’un temps. Aujourd’hui les VTC et les taxi cohabitent. Et le service s’est nivelé. On n’empêche par la technologie de bousculer nos habitudes et rien n’est acquis pour toujours.

La question qui demeure reste de savoir de quoi demain sera fait pour les acteurs de la transaction en immobilier. Avec l’avancée de l’IA nous avons un peu vite annoncé la mort de la profession. Mais c’est à chacun de se démarquer pour trouver sa place sur le marché et pouvoir continuer à s’épanouir dans ce beau métier. Qui vivra verra ? Oui, n’oublions pas d’être acteurs de notre (r)évolution.

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