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Alors que 2024 a été une « annus horribilis » en matière d’immobilier, le réseau Guy Hoquet attend du nouveau gouvernement qu’il mette en place des dispositifs incitatifs pour relancer le marché. Rencontre avec Stéphane Fritz, lors de la 6e édition des Assises de l’Immobilier, qui s’est déroulée les 18 et 19 septembre derniers à Metz.
Stéphane Fritz, président du réseau Guy Hoquet L’Immobilier, sort doucement la tête de l’eau. Après quelques mois difficiles, qui a fragilisé la trésorerie de certaines de ses 520 agences et cabinets d’affaires et qui a rayé de la carte de nombreux acquéreurs potentiels (primo-accédants en tête), le réseau d’agences franchisées peut enfin se tourner vers l’avenir.
Alors qu’une Ministre du Logement vient tout juste d’être nommée au gouvernement, Stéphane Fritz attend des mesures fortes pour relancer le marché de l’immobilier comme celui de la construction. Parmi elles : le soutien à l’investissement immobilier, par le biais de dispositifs incitatifs comme le Pinel.
En attendant un coup de pouce du gouvernement et une véritable sortie de crise, le réseau fait en sorte d’accompagner ses agences en difficulté, encourage les professionnels à se diversifier par exemple dans le crédit, le déménagement… L’enseigne, qui a intégré la formation dans la redevance que payent les futurs franchisés, continue aussi de miser sur la montée en compétences de ses 3 200 collaborateurs.
Comment se porte le réseau Guy Hoquet ? Comment accompagne-t-il ses agences en difficulté ? Qu’attend-t-il du nouveau gouvernement en matière de logement ? Stéphane Fritz, président du réseau Guy Hoquet L’Immobilier, nous en dit plus, lors des Assises de l’Immobilier de Metz.
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