Comme leurs pairs, les dirigeants français du réseau américain Keller Williams ont foulé les allées du salon RENT pour repérer les technologies les plus innovantes. L’occasion de revenir sur les quatre dernières années, où le réseau s’est largement implanté en France.
En 2017, le réseau américain Keller Williams s’implantait en France et ouvrait son premier « market center » dans la région parisienne, à Boulogne-Billancourt. Presque cinq ans après, il en dénombre 52 et s’apprête à en ouvrir 15 de plus dans les prochaines semaines. Son modèle – à mi-chemin entre l’agence immobilière et le réseau de mandataires – semble trouver de l’écho dans l’Hexagone. Actuellement, ce sont près de 3000 professionnels de l’immobilier, tous titulaires de la carte professionnelle, qui ont choisi de travailler, en France, depuis un marker center. Ce dernier prend la forme d’une entité pouvant regrouper jusqu’à 120 agents dédiés à l’immobilier résidentiel, commercial, au viager…
Avec quels arguments Keller Williams convainc-t-il les professionnels de l’immobilier ? Comment le réseau américain progresse-t-il en France ? Quel est le poids de la technologie dans son modèle ? Les réponses de Christian Fabre, directeur général France de Keller Williams, rencontré dans le cadre du salon RENT, qui s’est déroulé les 20 et 21 octobre derniers.
Aurélie Tachot est une journaliste spécialisée dans l'immobilier, qu'elle aime aborder sous le prisme des innovations, notamment technologiques. Après avoir été rédactrice en chef de plusieurs médias spécialisés, elle collabore avec Le Journal de l'Agence afin de rédiger des articles d'actualité sur les acteurs qui font l'immobilier d'aujourd'hui et qui feront celui de demain.