Mickaël Zonta, expert en investissement locatif, livre ses méthodes et ses secrets pour réussir un investissement locatif.
Extrait P.24. « Avec l’essor d’internet, tout le monde peut accéder librement à l’information et décider de se former pour changer son destin. De plus, dans un contexte économique difficile, les jeunes cherchent des moyens complémentaires pour assurer leur sécurité financière. Ils se posent des questions sur l’état dans lequel sera le système de retraite dans 40 ans. Et ils ont raison.
C’est une des raisons pour lesquelles j’ai choisi d’investir dans l’immobilier. Des solutions pour gagner de l’argent plus rapidement, il en existe encore quelques-unes : l’immobilier, la création d’entreprise, entrepreneuriat par le web, le consulting… Notre génération ne marche pas sur les traces de nos parents et de nos grands parents, qui étaient prêts à souffrir pour générer des revenus modestes. Nous, nous cherchons davantage un équilibre entre nos vies personnelles et nos moyens financiers.
Il n’y a d’ailleurs pas tant de différences que cela entre les Parisiens, par exemple ou les habitants de très grandes villes, et ceux de province. Tout le monde cherche la qualité de vie. Cependant, autrefois, les gens venaient vivre dans les grandes villes pour faire carrière. […] Aujourd’hui, les jeunes de 20-25 ans sont plus pressés. Et ce changement est une aubaine pour les investisseurs immobiliers, puisque la forte mobilité entraîne les besoins en logements accrus.
L’époque n’a jamais été plus propice pour investir dans l’immobilier, pour devenir riche, et donc pour vivre sa vie et avoir du temps. Le temps, encore. Certainement, la richesse la plus précieuse. L’enseignement le plus important de mon parcours, ce parcours qui m’a fait passer de moins de 30 000 à plus de 3 000 000 d’euros, de 3 échecs à 3 sociétés et plus de 50 salariés, de l’alternance à 200 opérations immobilières par an et autant de gestions locatives hebdomadaires, que ce soit pour le compte de clients ou pour mon intérêt personnel. Mon apprentissage s’est fait sur le terrain, en autodidacte. Je vous l’ai dit : je ne vous cacherai rien. Beaucoup d’erreurs furent commises. Mais, à chaque fois, j’en ai tiré des leçons.
Les erreurs, ce n’est pas si grave : c’est de ne pas se remettre en question qui est beaucoup plus ennuyeux. »