Sale temps pour les propriétaires. Le gouvernement réfléchit à supprimer l’exonération des plus-values sur les résidences principales lorsqu’il s’agit des très gros biens immobiliers. Reste à préciser cette notion…
Décidemment, c’est le désamour entre les professionnels de l’immobilier et le Président de la République ! Emmanuel Macron ne semble pas fan d’immobilier… Contrairement aux résidences secondaires qui sont imposées sur la plus-value lors de la revente, les résidences principales ne sont pas concernées par cette taxe sauf qu’Emmanuel Macron et son gouvernement, qui ont déjà rogné les aides pour l’accession à la propriété, ont semble-t-il une petite idée derrière la tête. Alors, vos clients doivent-ils se sentir menacés ?
Les très gros biens immobiliers concernés
Difficile à dire… Emmanuel Macron n’avait-il pas, lors d’un débat public le mois dernier, trouvé « très bonne » l’idée de réguler les plus-values immobilières. Et Bruno Lemaire, ministre de l’Economie et des Finances, d’enfoncer le clou sur TéléMatin sur France 2, le 6 février dernier, face à Caroline Roux : « C’est une piste de travail. Du moment que l’on parle bien des résidences principales à un niveau très élevé.» Et d’ajouter : « Aujourd’hui, la revente d’un bien immobilier lambda n’est pas soumis à l’impôt et je pense que c’est une bonne chose. En revanche pour les très gros biens immobiliers, pourquoi pas ! » Pour nuancer finalement : « Faisons attention aux Français, aux contribuables, nous sommes là pour baisser les impôts.»
Fait-il référence au marché immobilier bordelais où les prix, comme tout le monde le sait, se sont envolés avec l’arrivée de la LGV, permettant ainsi aux propriétaires de faire de très substantielles plus-values ? Le Président Emmanuel Macron a apparemment celles-ci dans le collimateur. Il a qualifié récemment les gains obtenus par certains d’injustes.
Réponse dans quelques mois
Pour l’instant, rien n’a été décidé ni engagé dans ce sens. Si vos clients s’interrogent, sachez que l’Élysée botte en touche et affirme que cette piste «mérite d’être étudiée ». L’hypothèse n’est donc pas exclue. Réponse dans quelques mois.
S’il cherche des recettes ou des économies, qu’il commence déjà par cesser de distribuer des provendes à des régimes bananiers sous couvert d’aide au développement, par supprimer les subventions de préservation des vestiges détenus à titre privé par des personnes ´démunies’, par supprimer les avantages éhontés des grands fonctionnaires, par supprimer les subventions aux associations (dont certaines ont une activité subversive), et pour finir, par supprimer ses propres avantages scandaleux (les robes de sa femme, ses services de sécurité parallèles et autres bizarreries). Et peut-être aussi supprimer les forfaits fiscaux déguisés dont bénéficient ses amis. Et encore supprimer ces agences observatoires et hautes autorités qui ne servent à rien. Voilà comment on passe d’une situation déficitaire à excédentaire, sans saigner les classes moyennes ni les spolier du fruit de leur travail. Comme cela la spéculation dans l’immobilier c’est vil et dans la finance cela serait subitement noble? L’immobilier ne détruit pas d’emplois par contre la finance oui…
Par Fred, il y a 6 années
Ou comment décourager les investisseurs !
Par Un contribuable excédé, il y a 6 années
S’il cherche des recettes ou des économies, qu’il commence déjà par cesser de distribuer des provendes à des régimes bananiers sous couvert d’aide au développement, par supprimer les subventions de préservation des vestiges détenus à titre privé par des personnes ´démunies’, par supprimer les avantages éhontés des grands fonctionnaires, par supprimer les subventions aux associations (dont certaines ont une activité subversive), et pour finir, par supprimer ses propres avantages scandaleux (les robes de sa femme, ses services de sécurité parallèles et autres bizarreries). Et peut-être aussi supprimer les forfaits fiscaux déguisés dont bénéficient ses amis. Et encore supprimer ces agences observatoires et hautes autorités qui ne servent à rien. Voilà comment on passe d’une situation déficitaire à excédentaire, sans saigner les classes moyennes ni les spolier du fruit de leur travail. Comme cela la spéculation dans l’immobilier c’est vil et dans la finance cela serait subitement noble? L’immobilier ne détruit pas d’emplois par contre la finance oui…