Chez Nestenn, les salariés sont heureux et le font savoir. Ils se sont exprimés dans l’étude HappyAtWork 2018. Résultat : Nestenn est la première entreprise la mieux notée, dans la catégorie des entreprises de 1 000 à 4 999 salariés qui ont concouru à l’obtention de ce prestigieux label.
Il fait bon travailler chez Nestenn. C’est du moins ce qu’en disent les salariés du Groupe issu de la fusion de Solvimo et d’AVIS-Immobilier, un groupe national et international solide de près de 300 agences, 1 200 collaborateurs et 90 millions d’euros de chiffre d’affaires.
La 1ère entreprise la mieux notée par ses collaborateurs
Selon l’étude HappyIndex/AtWork 2018, réalisée par ChooseMyCompany, qui permet aux salariés d’évaluer leur entreprise et de savoir s’ils y sont heureux et bien payés, Nestenn arrive en tête, d’après l’avis de 829 salariés, avec une note de 4,5 sur 5 dans la catégorie des entreprises de 1 000 à 4 999 salariés. 85 % d’entre eux recommanderaient même leur entreprise à un ami et ont confiance dans la direction. 94% quant à eux trouvent du sens à ce qu’ils font !
65 % des salariés en France sont heureux
Que faut-il aussi retenir d’autre de l’étude HappyIndex/AtWork 2018 ? En France, est-ce l’effet de la conjoncture qui s’améliore, il semblerait que les salariés soient plus contents de leur sort. En effet, selon l’étude, cette année, 65 % des salariés se disent heureux et motivés au travail. Ce chiffre est en nette progression par rapport à l’année dernière.
34 700 collaborateurs ont participé
Près de 34 700 collaborateurs appartenant à 7 335 entreprises ont donné leur avis à travers cette enquête. Toute une série de questions, portant sur 6 thématiques différentes (développement professionnel ; environnement stimulant ; management et motivation ; salaire et reconnaissance ; fierté ; plaisir-fun), a permis d’évaluer leur sentiment. Les secteurs dans lesquels les salariés s’épanouissent le plus sont les ressources humaines, l’audit-conseil et le marketing. Dans l’administratif et le secteur de la production-construction, les salariés, au contraire, sont maussades.