Jacques Mézard et Julien Denormandie ouvrent une consultation auprès des collectivités territoriales et des acteurs du logement, de la construction et de l’aménagement dans le cadre du projet de loi logement.
Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des territoires et Julien Denormandie, secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, ont souhaité ouvrir, dans le cadre de la préparation du projet de loi logement, une consultation auprès des collectivités territoriales et des acteurs du logement, de la construction et de l’aménagement.
Cette concertation vise à identifier des idées concrètes et propositions d’amélioration et de simplification qui enrichiront le contenu et le sens du projet de loi, qui seront transmises au ministère de la Cohésion des territoires avant le 10 septembre.
Pour accéder au questionnaire de consultation en ligne et déposer vos idées , cliquez ici !
Le projet de loi logement a des objectifs structurants et multiples : favoriser une offre de logements adaptée à tous nos territoires ; accompagner la demande de logements dans les territoires détendus ; promouvoir la rénovation énergétique des logements, en priorité ceux des ménages modestes ; faciliter l’accès au logement et la mobilité au sein des parcs de logement, en particulier vis-à-vis des publics jeunes, actifs ou modestes ; développer l’insertion par le logement d’abord.
Pour y parvenir, les deux ministres rappellent que plusieurs outils seront mobilisés : législatifs, réglementaires, contractuels mais aussi dialogue renouvelé avec les décideurs et acteurs de terrain. Cette concertation s’inscrit dans cette démarche. Les résultats seront partagés et alimenteront le projet de loi proposés ensuite au Parlement.
La politique de l’immobilier ne doit pas être confondue avec celle du logement. L’immobilier reprend, trop souvent uniquement l’aspect économique et fiscal. Le logement semble être le laissé pour compte.
Dans les zones tendues il faut intégrer les nouvelles habitudes de consommation du logement, la location de courtes durées pour les séjours touristiques. Les nouveaux salariés qui arrivent dans ces zones sont obligés de s’éloigner de leur travail et parfois renoncent à leur travail car les garanties formelles ne sont plus suffisantes pour rassurer les investisseurs.
Certains pays de l’UE ont une solution, réservé l’achat des logements à ceux qui habitent et/ou qui travaillent.
Est-ce utopique en France ?
Le prix de l’immobilier n’est pas un indice de développement!
Tout ceci est bien et généreux mais à mon humble avis manque de vision à long terme : Tout le monde semble comme acquis définitivement qu’il y a des territoires « pas comme les autres » et qu’il faut les traiter différemment . C’est très vrai à court terme, mais ça n’ouvre aucune perspective de changement . Ne serait il pas mieux d’oeuvrer pour qu’il n’y ait plus de « territoires tendus » ? Ce n’est sûrement pas simple, mais si personne ne se le donne comme objectif, c’est définitivement impossible .
Par Courd, il y a 7 années
La politique de l’immobilier ne doit pas être confondue avec celle du logement. L’immobilier reprend, trop souvent uniquement l’aspect économique et fiscal. Le logement semble être le laissé pour compte.
Dans les zones tendues il faut intégrer les nouvelles habitudes de consommation du logement, la location de courtes durées pour les séjours touristiques. Les nouveaux salariés qui arrivent dans ces zones sont obligés de s’éloigner de leur travail et parfois renoncent à leur travail car les garanties formelles ne sont plus suffisantes pour rassurer les investisseurs.
Certains pays de l’UE ont une solution, réservé l’achat des logements à ceux qui habitent et/ou qui travaillent.
Est-ce utopique en France ?
Le prix de l’immobilier n’est pas un indice de développement!
Par LE JANNOU Gérard, il y a 7 années
Tout ceci est bien et généreux mais à mon humble avis manque de vision à long terme : Tout le monde semble comme acquis définitivement qu’il y a des territoires « pas comme les autres » et qu’il faut les traiter différemment . C’est très vrai à court terme, mais ça n’ouvre aucune perspective de changement . Ne serait il pas mieux d’oeuvrer pour qu’il n’y ait plus de « territoires tendus » ? Ce n’est sûrement pas simple, mais si personne ne se le donne comme objectif, c’est définitivement impossible .