LE TÉMOIGNAGE :Et voilà c’est encore arrivé, il est déjà 18h30 et j’ai l’impression que je n’ai rien fait de la journée. Bien sûr, j’ai répondu à 20 e-mails et 12 coups de fi l, rencontré 6 clients, briefé une collaboratrice et jeté un coup d’oeil sur les comptes du mois, mais… Mais les gros dossiers, eux, n’ont pas avancé. Je n’ai pas eu de temps pour réfléchir aux grandes décisions. D’ailleurs c’est simple, je n’ai jamais de temps pour cela. Même pas pour préparer les rendez-vous importants. Je vais encore passer du temps sur mes papiers après dîner… J’ai essayé les to-do lists, je ne m’y fais pas. J’ai inscrit des moments calmes dans mon agenda, n’arrive pas à m’y tenir. Mais comment faire?
Félicitez-vous
Chaque minute où vous prenez du recul sur votre activité est une minute gagnée. Avant même de chercher à Programmer, constatez tout ce que vous abattez dans une journée… Et plutôt que de vous le reprocher, félicitez-vous ! Quelle énergie vous déployez ! C’est cette énergie qui vous fait gagner des affaires et qui motive vos proches.
Calculez en heures
La journée, la semaine… Autant d’horizons trop lointains. Pensez par demi- journées. Visualisez votre matinée pendant Votre café du matin, votre après-midi au café d’après-déjeuner. Ou bien, encore mieux, programmez votre matinée la veille au soir, l’après-midi avant de partir déjeuner.
Découpez vos demi-journées
C’est en début de demi-journée qu’on est le mieux disposé. Fixez à ce moment les sessions de réflexion et de travail « de fond » et, surtout, les négociations importantes. On sait qu’on obtient davantage de ses interlocuteurs lorsqu’ils ont le ventre plein !
Faites des breaks
Une heure à une heure et demie de – vous la pause, la discussion. … et surtout pour votre concentration.
Reconnaissez vos succès
Le matin, inscrivez seulement 3 petites actions sur votre to-do list. À midi, vérifi ez que vous les avez faites. Bravo ! La Demi-journée suivante sera plus riche, c’est certain.
L’ERREUR À ÉVITER Fonctionner sans cesse dans le rush ne se change pas en un instant. Programmer sur un mois ou même une semaine, c’est souvent se condamner d’avance à constater l’échec et le retour du stress.