Dégradation du marché de l’ancien au cours du second semestre 2011, recul brutal de la production de crédits : la récession de l’activité est bien installée. Une situation qui devrait durer au moins deux années. 480
La pause constatée cet été a cédé la place à l’entrée en récession. La production de crédits diminue, la demande chute, le chômage augmente. Et ce ne sont pas les mesures gouvernementales qui relanceront le marché. 459
Par Michel Mouillart
Après une reprise particulièrement vigoureuse, le scénario de la pause se profi le avec un ralentissement de la hausse des prix. Sans pour autant s’attendre à une nouvelle récession. 182
Par Michel Mouillart
La FNAIM et l'UNIS viennent de rendre public leur Livre blanc, fruit d’une large concertation menée au cours du premier semestre dans le cadre des États généraux des professions immobilières. « Nous formulons des propositions concrètes en faveur d’une évolution significative du cadre juridique pour nos professions immobilières 277
Malgré une forte anticipation des acheteurs en fi n d’année 2010 et la hausse des taux d’emprunt, l’activité reste soutenue. Quant au ralentissement Observé en début d’année, il ne s’agissait que d’une simple pause. 119
Par Michel Mouillart
Au moment où SeLoger.com prend un nouveau départ avec Axel Springer, son fondateur revient sur la révolution Internet. 515
Après l’embellie des marchés de l’immobilier enregistrée en 2010, le début de 2011 a marqué le pas. Mais grâce aux effets du PTZ+ et au déblocage du marché de la revente, l’essoufflement de l’activité devrait laisser place à un rebond.
Par Michel Mouillart
L’amélioration des conditions de crédit a fi ni par porter ses fruits : le redémarrage de l’activité est bel et bien là. Il s’est accéléré durant l’été et devrait s’amplifier en 2011, notamment porté par le nouveau PTZ+ 117
Par Michel Mouillart
Le rebond des prix observé dans de nombreuses grandes villes françaises en fin d’année se poursuit en 2010. Surtout à Caen, Dijon, Lille ou Paris, où l’on assiste même à une forte augmentation des prix, avec des hausses sur trois mois supérieures à 2 %. Une dynamique qui tranche avec l’atonie des marchés Lyonnais ou Marseillais mais surtout avec les fortes corrections à la baisse observées à Albi, Châlons-en-Champagne, Lons-le-Saunier et Perpignan. Des petites villes dans lesquelles les prix sont encore trop élevés. 841
Par Gérard Bornot
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