À l’occasion du Congrès de la FNAIM, Jean-Marc Torrollion, président de la fédération, a rassemblé les professionnels de l’immobilier afin que leurs voix soient entendues à l’aube de l’élection présidentielle.
« La profession immobilière a traversé la crise du Covid-19 d’une manière satisfaisante », explique Jean-Marc Torrollion, président de la FNAIM. Maintenant que la trésorerie des agents immobiliers semble épargnée, du moins pour 2021, place à la suite : en l’occurrence le lobbying auprès des instances décisionnaires, à la veille d’une année électorale. Le Congrès de la FNAIM, qui voit défiler, pour sa 75e édition, sept candidats à l’élection présidentielle, est le parfait endroit pour sensibiliser les hommes et les femmes politiques aux limites de l’encadrement des loyers, aux dispositifs d’incitation fiscale, mais aussi à la rénovation énergétique des logements anciens, sur laquelle Jean-Marc Torrollion demande « un calendrier précis ».
Quels messages la FNAIM souhaite-t-elle faire passer durant son Congrès ? Sur quels sujets les professionnels de l’immobilier seront attendus en 2022 ? Comment pourrait évoluer le marché immobilier ? Doit-on s’attendre à un ralentissement du nombre de transactions ? Les réponses de Jean-Marc Torrollion, président de la FNAIM, rencontré dans le cadre du Congrès de la FNAIM, qui se déroule du 29 novembre au 1er décembre, à Paris.