TOUTE L'INFORMATION PRATIQUE POUR LES PROFESSIONNELS DE L'IMMOBILIER

La FNAIM considère que 3 000 agences immobilières pourraient disparaitre et que 20 000 emplois sont menacés

Publié le
Publié le
Réagir 25 réactions
55 041
Evaluer cet article

L’épidémie de COVID-19 a fait voler en éclats la chaîne de finalisation des transactions immobilières.  Dans cette crise sans précédent, la FNAIM fait tout pour demeurer un maillon solide. Mais les agents immobiliers ne peuvent pas, à eux seuls, suppléer à toutes les défaillances qui s’accumulent en amont et en aval de leurs compétences spécifiques

photo : fnaim jean marc torrollion

Les trois quarts des agences immobilières auront d’ici fin mai des difficultés de trésorerie

C’est l’enseignement majeur qui ressort d’un sondage express réalisé auprès de plus de 2000 professionnels adhérents à la FNAIM sur le terrain. En pratique, compte tenu des mécanismes de fonctionnement de la transaction, l’arrêt de l’activité du mois de mars a empêché l’encaissement des sommes liées aux ventes réalisées en janvier et de février. Depuis le début de confinement, près de 90% des actes planifiés ont fait l’objet d’un report.  « Avec l’arrêt actuel de la chaîne du logement, ce sont deux mois d’activité des agents immobiliers qui ont déjà été réduits à néant.», explique Jean-Marc Torrollion, président de la FNAIM.

Les agents immobiliers  doivent donc faire face à un trou non pas seulement de deux mois, mais de trois, voire sans doute quatre mois dans leurs chiffres d’affaires. Or, l’enquête réalisée auprès des adhérents le montre : pour 38%, leur trésorerie n’excède pas 30 jours, et pour 36%, elle est comprise entre 30 et 60 jours. Leurs trésoreries ne pourront donc pas indéfiniment résister à un arrêt total des rentrées de fonds.  « Autrement dit, aucun n’était armé pour encaisser durablement un tel choc. Ne l’oublions pas : les agences immobilières sont des TPE », poursuit observe Jean-Marc Torrollion.

Une situation aggravée par une ordonnance prise par le Gouvernement

C’est dans ce contexte que la situation a été aggravée par le report des délais de signature autorisé par l’ordonnance prise en urgence le 25 mars par le Gouvernement.

Par la voix de son président Jean-Marc Torrollion, la FNAIM a prévenu qu’elle n’accepterait pas cette mesure. « Il faut, au contraire, réduire les délais de purge des différents recours susceptibles de bloquer une transaction. Sinon, un stock d’actes représentant 400 millions d’euros de chiffre d’affaires ne pourra pas être signé avant le 25 août. Et je ne parle ici que de nos adhérents FNAIM, 50% des professionnels », déclare-t-il.

La situation est dramatique : faute d’un redémarrage des transactions d’ici à la fin du mois de mai, les trois quarts des professionnels de l’immobilier spécialisés dans la vente auront dû cesser leur activité. Pas moins de 3 000 agences baisseront leurs rideaux. Plus de 20 000 emplois sont menacés, dans ces TPE implantées partout dans les territoires.

« Pour éviter ce mécanisme de faillites en cascade, la chaîne du logement doit être reconstituée au plus vite. Aujourd’hui, nous sommes perdus entre les injonctions contradictoires. On nous dit de travailler à distance. Nous nous organisons, mais il nous manque d’autres maillons pour travailler réellement, au premier rang desquels les services d’urbanisme, alors que nous avons besoin d’eux pour poursuivre notre activité », déclare Jean-Marc Torrollion.

À cette fin, la Fédération avait souligné très tôt l’impératif de continuité du service d’authentification des actes, même à distance. Le Conseil supérieur du Notariat s’est déclaré favorable à la comparution à distance, mais dans la réalité des faits, ce vœu s’est heurté au retard en équipements digitaux de nombreuses études.

Pour preuve de sa bonne volonté, le Conseil supérieur du notariat est intervenu auprès de Bercy pour obtenir la réouverture des services de publicité foncière. C’est chose faite depuis le mercredi 1er avril. La FNAIM salue cette initiative, mais pour reprendre l’expression de son président Jean-François Humber « cela ne résout pas tout ».

Des mesures urgentes pour la survie du secteur

Afin de permettre un maintien de l’activité du marché immobilier et d’éviter l’agonie du secteur, Jean-Marc Torrollion a d’ores et déjà adressé plusieurs demandes au Gouvernement :

  • La suspension du droit de préemption pour toutes les collectivités incapables d’assurer un fonctionnement à distance de leur service d’urbanisme ;
  • L’abrogation du report du délai de réponse pour les déclarations d’intention d’aliéner (DIA), comme prévu dans l’ordonnance ;
  • La faculté de renoncement à tous les délais de protection.
La référence des pros de l’immobilier enfin chez vous !
En savoir plus

JDA EDITIONS
Du même auteur
Newsletter

Recevez l'essentiel de l'actualité immobilière sélectionné par la rédaction.

FNAIM
Sur le même thème
Vos réactions
  • Par BEYTI, il y a 4 années

    Effectivement il y a eu de nombreux blocages liés à des services communaux fermés. Ces difficultés ont néanmoins permis une accélération nécessaire de la digitalisation des notaires.

  • Par POTIER, il y a 5 années

    L’immobilier est un secteur d’activité qui occupe beaucoup de personnes,
    tant dans la vente que dans la location…
    Mais est-ce un travail ?
    Ce ne serai pas plutôt une occupation lucrative ?
    En fait c’est aussi cela la société, de moins en moins gens travaillent réellement !
    D’ailleurs c’est une manière pour le particulier de gagner de l’argent qu’il n’aurait jamais pu gagner par son travail, qui ne puisse permet tout juste de vivre…

  • Par Yann, il y a 5 années

    Pour résumer mon cas cité plus haut en 2 lignes :
    Je ne peux plus exercer depuis le 16/03. Mes revenus perçus en différé de 4 mois (spécificité de ma profession) juillet, août, septembre seront impactés. Nous sommes 27.000 à exercer la profession de mandataires immobilier. Nos revenus perçus en mars, avril et mai sont le fruit du travail réalisé 4 mois en amont octobre novembre décembre; 3 mois non impactés par le C-19. De fait nous ne sommes pas éligibles à l’aide de solidarité. Pour autant notre travail en mars avril mai aura été lourdement impacté par un arrêt net de l’activité. Que prévoit le gouvernement ?

  • Par Francis, il y a 5 années

    Bonjour,

    CA à -35% = prime 0
    Pourquoi ne pas faire stopper les ventes entre particulier, afin d’aider les professionnels de l’immobilier à redémarrer, les visites virtuelles ne suffisent pas.

  • Par Yann, il y a 5 années

    Je rajouterais que les conditions d’octroi de cette aide de solidarités sont vraiment arbitraires. En effet concrètement c’est bien notre travail de mars qui est affecté par le Covid-19. Que vient faire le CA de mars 2019 ? Notre CA mensuel est la moyenne d’un CA annuel réalisé par toutes nos actions 12 mois sur 12. Il va de que si en mars avril et mi-mai les mois les plus prospères nous ne réalisons aucune action telles des rentrées de mandats, des visites et revisites, des promesses etc… et bien c’est tout notre CA de l’année 2020 qui va être impacté. A quoi bon imposé comme condition un CA mars 2020 inférieur à 50% du CA mars 2019 ? Ca n’a pas de sens. C’est totalement insensé. C’est complètement arbitraire. Si la mesure d’aide est très intéressante, en réalité elle n’est intéressante que pour l’effet d’annonce comme toujours. Tout comme la promesse du gouvernement de faire bénéficier aux indépendants et entrepreneurs le chomage, que des effets d’annonce. C’est navrant !

  • Par Yann, il y a 5 années

    Je suis dans le même cas que vous puisque mars avril mai et juin sont les mois les plus prospères. Quand on sait qu’un acte dure en moyenne 4 à 5 mois, pour avoir fait du chiffre en mars il aurait fallu faire des ventes fin novembre. Malheureusement on le sait novembre n’est pas prospère. Résultat si en mars 2019 je n’ai rien encaissé, en mars 2020 je n’ai pas non plus droit à l’aide de solidarité. Pire le travail de visite que je n’aurai pas fait en mars ne risquera pas non plus porter ses fruits en avril et donc mon CA de juillet en sera autant impacté. Vraiment c’est la double peine.

  • Par SEBASTIEN VIARD, il y a 5 années

    bonjour à tous, merci pour votre action. Mais ce ne sera pas suffisant. Il est impératif que le gouvernement permette aux agences de pouvoir effectuer des visites (avec précaution : ex chacun dans sa voiture…). Mais il faut également que les clients LOCATAIRES ou ACQUEREURS puissent AVOIR LE DROIT DE VISITER (comme les courses) du moment que c’est justifier par un RDV par mail par ex. Des locations étaient sur le point de se conclure, revisite de l’épouse avant de signer le bail… impossible à cause des risques d’amendes… Du coût les BAILLEURS perdent des loyers énormes, et ne vont plus pouvoir payer leurs CREDITS…!
    Et c’est certain, les petites AGENCES ne pourront plus tenir, les banques refusent d’attendre, idem pour les particuliers qui ont des prêts avec des immeubles avec de nombreuses vacances locatives qui ne peuvent-être reloués ! ON VA A LA CATASTROPHE…
    Sébastien VIARD
    SEBASTIEN IMMOBILER Troyes et Fréjus

  • Par Baldi stephane, il y a 5 années

    On parle des notaires et des agences immobilières.
    On oublie un métier essentiel sans lequel personne ne peut travailler : le diagnostiqueur
    immobilier confiné jusqu a nouvel ordre.
    La aussi cette profession est en danger .
    Merci de ne pas nous oublier.

    .

  • Par Andrade, il y a 5 années

    Bon jour à tous…Je viens de lire tous les commentaires je vous avoue avoir le souffle court….je suis Agent Immobilier, je travaille seule, je suis monoparentale et mon agence à moins de 3 ans. Par chance je minimise tout car cela fait juste 3 fois depuis 20 ans d immobilier, juste 3 fois que je touche le fond (divorce et perte d emploi). J en suis usée mais en même temps prete à me battre.
    Je remercie la FNAIM pour toutes ses batailles oui grand merci car vous nous avez aussi aider à valoriser notre métier. Je vais moi aussi essuyer un énorme souci de trésorerie car je fais malheureusement peu de vente et des longues alors il faut effectivement porter à bout de bras les delais long (j ai aussi eu un demarrage de creation un peu freinee)…il serait effectivement judicieux que l on puisse avoir des annulations de factures pub mars avril mai…cela sauverait beaucoup d agence…les annonceurs se rattraperons si nous survivons.
    Pour les 15oo je suis en negociation avec les impots j ai fait un mail et il semblerait que je sois éligible, j ai fait la demande on verra bien.
    Ce que je sais c est que je travail plus pour payer l etat que de m enrichir, alors l etat aussi se rattrapera.
    Ce job je l aime je l ai créé avec mes tripes alors je me batterai jusqu’au bout pour le sauver…
    Vos témoignages me touchent je suis de tout coeur avec vous…
    Bien à vous
    Ana Andrade

  • Par Fontaine, il y a 5 années

    N’ayant pas fait de CA en mars 2019, je n’ai donc pas droit à l’indemnité de 1500€. C’est vraiment bête. Ayant fait du CA en mai 2019, j’y aurais eu droit si cette satanée épidémie aurait eu lieu en mai ! Comme quoi tout cela est vraiment injuste. Question de timing..
    Comment fait on pour vivre, payer les factures de nos prestataires….?

    Quel comble!

  • Par Kevin, il y a 5 années

    Quid du prêt garantie par l’état ayant pour plafond 25 % du CA annuel et qui permettra donc évidemment à ces agences de compenser les besoins en trésorerie et de ne pas mettre la clé sous la porte comme c’est sous-entendu ?

  • Par EVELYNE DEREGNAUCOURT, il y a 5 années

    Les clients et les agences sont prises en otage alors qu’on parle d’acte à distance et procurations
    Mais les mairies sont fermées pour authentifier les procurations, que les notaires pourraient prendre en compte pour signer avec un membre de leur étude clerc.
    Ne serait-ce pas le retour de la médaille de la multiplications des études notariales que le gouvernement a fait naître??????!!!!!!

  • Par Stéphane ARVERNHA, il y a 5 années

    M. Torrollion, merci de tirer la sonnette d’alarme pour notre secteur d’activité, mais il est tout un pan de notre profession que vous semblez oublier et qui me paraît encore plus en danger, il s’agit des agences qui vivent principalement de la location saisonnière. Si on peut espérer que pour le secteur de la transaction, les ventes prévues pendant les semaines de confinement pourront tout de même se faire plus tard, ce n’est pas du tout le cas pour les séjours prévus sur les 4 semaines de vacances de Pâques, ou encore les cures qui devaient débuter ou très vraisemblablement les séjours à l’occasion des ponts de mai. Ces annulations ne se retrouveront pas à la fin de l’exercice. En agitant le drapeau de la FNAIM, merci de penser à tout le monde et de proposer aussi des solutions urgentes pour ceux qui sont obligés de travailler pendant cette période pour s’enlever le pain de la bouche en éditant des remboursements de séjours à longueur de journée.

  • Par Lebrun Guillemette, il y a 5 années

    Merci pour tout ce travail..
    Vous ne parlez pas du fonds de solidarité pour agents commerciaux auto entrepreneurs pas de ca en mars 2019 pas de droits pour le fonds de solidarité.
    Rien encaissée depuis février .on fait comment ??
    Merci et bon courage à tte la profession

  • Par BOUSSARDON, il y a 5 années

    Qui est le président de la FNAIM : Jean-Marc TORROLLION ou, Jean-François HUMBER ? Dans votre article, vous les nommez l’un et l’autre président de la FNAIM (….mais pour reprendre l’expression de son président Jean-François Humber « cela ne résout pas tout »).
    Sincèrement,
    Christian BOUSSARDON

  • Par HuguesNoël, il y a 5 années

    Contrairement aux idées véhiculées ce ne seront pas les petits entrepreneurs qui vont disparaître, tellement habitués depuis des années à tirer la langue avec une, voire deux grand max, vente(s) dans l’année, mais bien les grandes enseignes d’agences immobilières à l’image conceptuelle et aux collaborateurs néophytes, pléthoriques et payés à la commission qui remontent aux actionnaires un chiffre d’affaires mutualisé, servant de publicité pour décrocher de nouveaux mandats au nez et à la barbe des réelles TPE professionnelles implantées du secteur. Le lièvre et la tortue…

  • Par Mymy adhérente FNAIM, il y a 5 années

    Merci M. TOROLLION Je suis une petite Agence de transaction je travaille toute seule je suis gérante et négo je n’ai le droit à rien, ni chômage, ni le fond de solidarité car je ne rempli pas la double condition. C’est une honte, on nous laisse au bord de la route et ne parlons pas des assurances  » perte d’exploitation  » que nous payons depuis des années, là aussi il faudrait faire quelque choses. Bon courage à tous mes confrères

  • Par DE COURS DE SAINT GERVASY, il y a 5 années

    Merci Monsieur pour votre prise de position claire. Toutefois, d’autres actions fondamentales et UREGNTES sont à mener pour aider toutes les agences immobilières de France. Je pense aux PORTAILS d’annonces qui continuent leurs prélèvements mensuels alors que nous sommes dans l’incapacité de travailler. À ce jour, seul le site Bien’Ici suspend les paiements pour une durée de 45 jours. Il est temps de demander tous ensemble aux sites d’annonces d’ARRÊTER de nous plomber. J’ai créé une pétition en ce sens. Vous la trouverez ici : https://www.petitions.fr/signatures/covid-19__agences_immobileres__pour_la_suspension_provisoire_des_prelevements_des_portails_dannonce/?u=4810752

  • Par Kevin, il y a 5 années

    Merci !!

  • Par Lulu67, il y a 5 années

    En qualité d’agent immobilier et dirigeant de 2 sociétés je ne pourrai pas percevoir les 1500 € annoncés à torts et à travers dans tous les médias. Ce qui est injuste dans ce dispositif c’est que mes sociétés ont payé des impôts relatifs aux bénéfices réalisés, et j’ai également payé des impôts sur la rémunération perçue. Alors pourquoi ne pas avoir droit comme tout le monde à 1500 €?
    Sinon CA mars 0 € et CA avril 0 €….et 0 aide….
    Il faut taper plus fort M TORROLLION.
    Merci pour votre action à venir sur ces points.

  • Par Agence Côté Cannes, il y a 5 années

    Bonjour, 
    En tant qu’agence indépendante et non affiliée à la FNAIM , je félicite l’action de son Président , ainsi que les mesures proposées pour sortir notre activité de ce blocage . 
    Je vous en remercie vivement et suis prête à signer une action en ce sens . 
    Courage à tous . 

  • Par SIBILE, il y a 5 années

    Merci Mr Torrollion pour cet éclairage. Je suis dirigeante d’une agence immobilière indépendante de 4 salariés + 1 agent commercial. Il est vrai que nous avons des tas de mails, de veilles, et c’est très flou. Votre message l’atteste, il y a beaucoup de yakafocon, mais la réalité est toute autre. Nous avons opté pour la signature électronique depuis janvier, ce qui nous a permis de continuer à distance. Mais à quoi cela sert lorsque des notaires sont fermés sans permanences ni moyen de les joindre (je remercie d’ailleurs ceux qui jouent le jeu et continuent de traiter les dossiers), les retours de banques sont pratiquement inexistants et les courtiers en souffrent énormément, pas de retours non plus des services des hypothèques (votre message nous annonce donc une bonne nouvelle), j’ai un vendeur sous tutelle, aucun suivi jusqu’à nouvel ordre du tribunal… etc… Alors reporter tous les délais à Juin me semble insupportable et beaucoup d’entre nous n’y survivront pas. Nous ne pourrons pas rester en apnée jusqu’en aout (qui pour rappel est un mois de vacances). Merci alors de vous battre pour nous.

    Notre reprise sera intense je pense, avec de nombreuses estimations mais pas de rentrées d’argent avant 5 mois.
    Bon courage à tous.
    Dominique SIBILE agence d’HOME immo

  • Par Amélie GIROD, il y a 5 années

    Bonjour,
    Merci pour cette intervention très juste, nous ne sommes pas autorisés à faire des visites donc comment produire du chiffre d’affaires ? et au delà, comment encaisser le fruit de nos ventes précédentes même avec des actes dématérialés, nos acquéreurs souhaitent revisiter avant de signer par acte authentique.
    Notre activité est réduite à zéro et nos débutants ne peuvent pas prouver une baisse d’activité de 70 % ou même de 50 % pour être éligibles à l’aide de 1500 euros, ils ne justifient pas de la double condition, certains ont commencé et devaient seulement percevoir leurs premières commissions. Toute leur bonne volonté de départ et les efforts nécessaires à la mise en route d’un début d’activité va être réduite à néant et nous allons perdre des équipes pourtant à haut potentiel.

  • Par BAS, il y a 5 années

    Bonjour,
    Je ne suis souvent pas d’accord avec la FNAIM, mais là je me félicite de son président qui vient de clarifier une situation à venir très éclairée.
    Monsieur le Président, merci d’avoir dit la vérité, elle vous honore. Je ne suis pas membre de la FNAIM et mon message en surprendra plus d’un.
    Mais il ne faut pas s’opposer à la réalité annoncée dans ces lignes du journal de l’Agence.
    Comme tous les autres nous serons nous aussi touché par cette situation.
    Claude BAS
    Président du Groupe C&C BAS

  • Par FABRICE LE PARC, il y a 5 années

    Merci à l’action de Jean-Marc Torrollion car personne ne parle de la catastrophe à laquelle fait face le secteur immobilier.
    Quid de la location ? des déménagements interdits ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Le journal trimestriel

Vous souhaitez consulter notre dernier magazine ou l'une de nos éditions précédentes ?

Consulter en ligne Abonnez-vous
Découvrez nos formules d'abonnement