Contrairement aux autres systèmes de ventes immobilières, le viager, qui représente environ 9 000 ventes par an, est en constante progression. Pour accompagner ce phénomène, Capifrance se positionne sur ce marché prometteur.
« Le viager exige des compétences immobilières mais également une parfaite connaissance de la réglementation ainsi que de solides capacités de suivi après vente… », précise son PDG Jacques Daboudet.
CapiFrance voit la vie en viager Avec l’allongement de la durée de vie, les besoins en trésorerie des personnes âgées s’accroissent alors que leur niveau de vie ne cesse de baisser. D’ici 2040, celui-ci devrait ainsi reculer d’environ 20% par rapport à celui des actifs, selon l’Insee. Un phénomène accru par un système de retraite peu adapté aux besoins des séniors.
Alors qu’en moyenne, le prix d’une maison de retraite en France est de 1 700 euros par mois, la retraite mensuelle des Français est de 1 588 euros pour les hommes et de 1 102 euros pour les femmes.
« Dans ces conditions, on comprend aisément que le viager soit perçu comme une véritable aubaine par les retraités. En vendant leur patrimoine immobilier par ce biais, ils pourront disposer de revenus complémentaires, nécessaires à la sauvegarde de leur niveau de vie, et conserver ainsi leur logement », constate Jacques Daboudet
Quant aux investisseurs, le viager leur permet de se constituer progressivement un patrimoine immobilier et ce, sans obligatoirement recourir à un emprunt à long terme « Ce système nécessite une mise de fonds réduite, en particulier pour un viager occupé », précise Jacques Daboudet. Il est toutefois fondamental pour les acheteurs comme pour les vendeurs en viager de s’adresser à un interlocuteur averti et expérimenté.