L’immobilier étant un métier en constante évolution, la formation – qu’elle soit initiale ou continue – est l’une des clés du succès. Lorsque le marché immobilier se tend et que les mandats sont plus difficiles à capter, les professionnels de l’immobilier doivent capitaliser sur leurs compétences pour sortir la tête de l’eau. L’École supérieure de l’immobilier (ESI) a justement cette ambition d’accompagner les futurs comme les actuels professionnels tout au long de leur carrière. Dans le cadre de ses formations initiales, l’ESI accueille par exemple entre 400 et 500 étudiants chaque année. A l’issue de leur formation, qui se déroule forcément en alternance, ces derniers sont sanctionnés d’un diplôme universitaire. Dans le cadre de la formation continue, l’ESI forme plus de 18 000 professionnels sur près de 500 thématiques (la rénovation énergétique, la fiscalité, la gérance locative…)
Ces prochains mois, l’ESI travaillera sur plusieurs chantiers notamment la refonte de son BTS « Professions immobilières », qui peut désormais être suivi entièrement à distance ainsi que la conclusion d’un partenariat avec le réseau des Chambres de commerce et d’industrie (CCI) afin que ses formations initiales soient accessibles en province, au sein de différents territoires, et non plus qu’à Courbevoie, sur son campus francilien.
Quelle est l’ambition de l’ESI ? Quelle est la direction stratégique de l’école de la FNAIM pour les prochaines années ? Les réponses de Céline Deytieux, directrice générale de l’École supérieure de l’immobilier, rencontrée lors de la 77e édition du Congrès immobilier de la FNAIM, qui s’est déroulée les 9 et 10 décembre au Carrousel du Louvre à Paris.