Une fédération « puissante »
« Je laisse derrière moi une fédération puissante, forte de plus de 43 000 salariés, avec une école supérieure de l’immobilier (ESI) en plein renouveau et un dédoublement de la direction générale qui a notamment abouti sur la création d’une direction générale des services. Puissante également par le lancement de son baromètre du Laboratoire économique du logement, la propulsion du service juridique en pôle d’excellence et le lancement du FNAIM Lab, dédié à l’accompagnement des start-up. »
Peser sur la scène politique
« Aujourd’hui, la FNAIM est respectée des pouvoirs publics et incontournable dans le débat politique en matière de logement. Au cours de mon mandat, j’ai échangé avec quatre ministres du Logement, toujours dans le respect mutuel, et ce malgré nos désaccords. Ces derniers mois, la fédération a par exemple discrètement porté une mesure qui a été votée en novembre : le doublement du déficit foncier imputable au revenu. Lorsqu’elle prend la parole, c’est dans l’intérêt général de la profession. »
La création de l’insigne VESTA
« En 2018, j’ai obtenu que les dénominations des métiers d’agent immobilier, d’administrateur de biens et de syndic de copropriété soient protégées par la loi Élan et réservées aux titulaires de la carte professionnelle. Cette clarification a abouti à l’insigne Vesta, un emblème universel des titulaires de cette carte, qui agrège les trois syndicats immobiliers. Par la suite, j’ai également été fier d’être sorti par le haut du litige qui nous a temporairement opposé au Conseil supérieur du notariat. »