Moins de deux ans après leur dernière levée de fonds, le modèle Virgil renforce encore son attractivité auprès des investisseurs historiques, tels que Alven, LocalGlobe, Evolem, ou encore Global Founders Capital. Il faut dire que depuis sa création, il y a 3 ans, Virgil a déjà financé 50 millions d’euros d’immobilier parisien et accompagné 10 000 personnes dans leur projet. Son leitmotiv ? « Nous voulons transformer le futur des jeunes actifs en les sortant du piège locatif. Notre raison d’être, c’est de rétablir l’égalité face à l’accès à la propriété. Il s’agit d’offrir à toute une génération la liberté à travers l’indépendance financière », explique Saskia Fiszel, co-fondatrice de Virgil.
Selon une étude de la FNAIM réalisée en janvier 2022, les jeunes actifs restent en effet en grande majorité locataires, alors qu’ils sont à 85 % convaincus que posséder sa résidence principale est plus économique. Pour contourner cet écueil, Virgil propose aux primo-accédants d’acheter 15 % d’un bien, en échange d’un investissement de 10 % du prix, et l’apport financier peut aller jusqu’à 100 000 euros. La startup se rémunère au moment de la revente, au plus tard 10 ans après l’achat. Virgil permet aux jeunes actifs de devenir propriétaires en moyenne 7 ans plus tôt que la moyenne des primo-accédants, soit autant de loyers économisés. Avec cette nouvelle levée, Virgil se donne désormais comme objectif de financer chaque mois 50 millions d’euros de projets, en France et en Europe.