Il l’avait annoncé, il l’a fait ! Il y a trois ans, pour accélérer son développement, le réseau de licences de marque, créé en 2008 par Jean-Philippe Crouau, qui comptait alors 50 agences, s’était fixé un objectif de 100 points de vente en 2021. Pari réussi en mai. Pour atteindre ce cap, le réseau, alors exclusivement consacré à la création d’agences et accompagnés d’entrepreneurs issus de l’immobilier ou d’autres secteurs, s’est ouvert aux indépendants, déjà installés.
« Ce qui me rend fier, c’est que le concept fait ses preuves partout en France, se réjouit Jean-Philippe Crouau. Nous sommes implantés dans le 8e arrondissement à Paris mais aussi dans des villes moyennes comme Tarbes ou en secteur rural, dans le Cher ! ».
Une marque forte…
Alors, que recherchent ces agences déjà en place en rejoignant le réseau Côté Particuliers ? « Ces professionnels aguerris de l’immobilier ont souhaité se différencier et ont choisi une enseigne nationale accessible en licence de marque (sans droit d’entrée, ni royalties) qui respecte totalement leur indépendance, Chez nous, ils peuvent adapter la méthode commerciale à leur personnalité, à leur marché, à leur clientèle… C’est cet état d’esprit, cette liberté, qui, je crois, les séduit », explique Jean-Philippe Crouau.
… et des économies à la clé
Ce qui intéresse également les agences ? Les outils. « Nos agences bénéficient par ailleurs de tous les outils digitaux devenus indispensables (signature électronique, homestaging, visite virtuelle, avis clients contrôlés, etc…) et depuis 2020, sont équipées d’une plateforme digitale qui assure leur visibilité sur Google, Facebook, Instagram et Youtube », souligne Jean-Philippe Crouau.
L’adhésion à Côté Particuliers reste accessible : la redevance d’exploitation est fi xe : 699 euros/ mois. D’ailleurs, les économies réalisées sur les outils digitaux inclus dans les tarifs et sur les portails immobiliers, grâce à leur centrale d’achat effacent, selon le réseau la redevance. » Les professionnels bénéficient également via une redevance publicitaire mensuelle de 199 euros de campagnes Google Ads locales qui génèrent pour eux des contacts vendeurs donc des mandats et au final des ventes.
« L’avantage du digital, c’est que l’on ne frappe pas là où l’on n’est pas présent, précise Jean-Philippe Crouau. Faire de la publicité nationale sert le développement du réseau, investir en digital local sert les agences. C’est plus efficace. »
Olivia Delage/BazikPress