Voici les principaux résultats de l’étude réalisée par My.Yupeek.com : la recherche d’emploi se fait désormais de manière dématérialisée (74% recherchent leur futur emploi emploi en ligne), les anciennes méthodes de recherches sont oubliées pour privilégier les nouveaux outils mis à disposition (13% utilisent les réseaux sociaux). Enfin, à l’heure où les entreprises doivent faire face à une pénurie des talents, les nouvelles générations recherchent une nouvelle relation avec les recruteurs.
Les jeunes plébiscitent la recherche d’emploi en ligne
74% des 18-34 ans recherchent leur futur emploi en ligne abandonnant définitivement la candidature par voie postale (0,79% postulent par ce biais). Parmi les services en ligne, ce sont les job-board qui sont privilégiés à 59%, jugés simples d’utilisation, riches en annonce (50%) et également comme un bon moyen pour découvrir les entreprises (39%).
Les réseaux sociaux rentrent en jeu : 1 jeune sur 5 les utilise pour sa recherche : Linkedin, Viadeo, Facebook, Twitter… Ils sont par ailleurs 20% à avoir trouvé un emploi grâce à ces réseaux.
Ils misent sur le réseau
32% des interrogés pensent que faire appel à son réseau est la méthode la plus efficace pour trouver un emploi. Une affirmation d’autant plus forte pour les diplômés BAC+5 (44%). Les méthodes plus classiques telles que la recherche via Pôle Emploi parait obsolète, seulement 1% des 18-24 ans pensent que Pôle Emploi est un moyen efficace pour trouver un emploi, 5,2% pour les 25-29 ans. Ils sont seulement 10% à avoir trouver un emploi via ce biais.
La Génération Z, a besoin de s’accomplir dans son futur job
A l’instar de leurs prédécesseurs, les jeunes de la génération Z sont attirés par les entreprises où la prise de parole est facilitée, où ils pourront exister et être reconnus plus facilement. A la question de l’attente face à un recruteur, 57% des 18-24 ans souhaitent révéler leur personnalité (vs 36% pour les 35 ans et +). S’ils ont déjà refusé une proposition suite à une réponse favorable, c’est une fois sur deux à cause d’un mauvais feeling avec le recruteur (52%) alors que pour les générations précédentes, la mauvaise rémunération est le point clé d’un refus de poste (59% pour les 30-34 ans – 48% pour les 20-29ans).