Investir en 2016, une aubaine… Presqu’une obligation vu les conditions ! Plusieurs raisons à cela : les taux d’intérêt sont, comme chacun sait, extrêmement bas depuis plusieurs mois. Pour l’instant, l’argent ne coûte rien ou presque. Mieux vaut donc en profiter car les taux finiront sans doute par remonter… Quant aux prix, s’ils se sont stabilisés, on peut espérer toutefois faire une plus-value sur son investissement. Sans compter que les loyers restent élevés. A ces éléments s’ajoute toujours la nécessité de préparer sa retraite. Quant aux offres alternatives de placement, n’en parlons pas, elles sont largement insatisfaisantes : le marché financier fait peur et le marché obligataire s’avère peu rémunérateur. On voit donc bien qu’il y a peu d’autres solutions pour investir que l’immobilier loué qui présente, lui, l’avantage d’être un placement globalement rentable et sécurisé !
Profiter du levier du crédit le plus tôt possible
Dans le schéma qui prévalait jusque là, le plus souvent, on ne se lançait dans un investissement locatif qu’après avoir acheté leur résidence principale. Or, les lignes ont bougé. Ceux qui en ont fait l’expérience en attesteront : il faut entrer le plus tôt possible dans le jeu. D’autant que, pour de nombreuses personnes, acquérir sa résidence principale est désormais hors de portée, surtout quand on est jeune ou que l’on vit dans une grande ville demandée. Alors, pourquoi ne pas investir ailleurs et différemment ?
Privilégier la mobilité professionnelle et les effets de levier
Les acheteurs ne s’en rendent pas forcément compte, mais à l’heure où la mobilité professionnelle est devenue une norme et où certains marchés immobiliers demeurent encore assez chers, en achetant leur résidence principale trop jeunes, ils se coupent doublement les ailes.
D’une part, en cas de changement professionnel (mutation, licenciement par exemple) les obligeant à vendre leur bien, parce qu’ayant engagé toutes leurs économies, et en admettant qu’ils parviennent à trouver preneurs dans des délais raisonnables et au prix d’achat, il y a de fortes chances qu’ils perdent leurs frais d’installation voire les frais de notaire, sans parler du coût d’éventuels travaux.
D’autre part, parce que dans un contexte économique tendu, sur un marché du logement qui peut s’avérer à des prix encore soutenus, les jeunes acheteurs risquent d’être contraints de prendre, à court terme, un logement en-dessous de leurs attentes, alors qu’en passant par l’étape d’un bien loué, ils pourront en le revendant, faire jouer un effet de levier et acquérir à moyen terme un logement plus en ligne avec leurs envies.
Dans le contexte que nous connaissons, il faut parfois savoir passer par une étape intermédiaire, un plus sûr chemin vers l’acquisition de sa résidence principale rêvée, car les établissements bancaires seront aussi mieux disposés si un premier bien générant des revenus vient renforcer les capacités d’emprunt des acheteurs.
L’immobilier loué est ouvert à tous
Outre ces bénéfices réels, l’investissement dans des biens immobiliers loués présente d’autres avantages. Pour commencer, il est à la portée de tout le monde, dès lors qu’on a un profil bancaire sain. Acheter un parking, un studio, un appartement classique ou en résidence services est à la portée de toutes les bourses. Il n’y a pas de ticket d’entrée. Il est aussi ouvert à tous les âges : dès 25 ans ! On peut, très jeune, thésauriser 50 € par mois en achetant un parking. Pour un profil plus senior, à 55 ans par exemple, avec le concours d’un locataire, on peut préparer sa retraite et se constituer un complément de revenus, en plaçant 300 € par mois ; à 65 ans, c’est une façon de placer des capitaux sans qu’ils ne se dévalorisent, et sans grand risque. Avec un rendement de 3 à 4 %.
L’immobilier loué est à la portée de tout le monde parce qu’il n’est pas non plus nécessaire d’avoir des connaissances particulières pour investir. On peut parfaitement acheter un bien géré par un administrateur de biens ou par l’exploitant d’une résidence services et se soulager ainsi de la partie administrative. C’est simple et on peut vite y prendre goût d’autant qu’on peut se lancer seul, à plusieurs ou en famille. Sans compter qu’emprunter pour acheter un bien loué est une extraordinaire assurance-vie : en cas de décès, le prêt est remboursé et le bien produit immédiatement des revenus. De quoi mettre ses proches à l’abri !
Quel que soit son lieu de résidence, on peut investir. A Agen comme à Paris. C’est une particularité de ce marché, si vous habitez à Paris, et que votre budget ne vous permet pas d’y investir, vous pouvez placer votre argent ailleurs avec des rentabilités parfois inhabituelles au vu de ce que proposent les autres possibilités de placement. Les solutions sont nombreuses. En France, la demande locative est forte. A vous d’identifier les villes, les quartiers où les rendements sont les plus intéressants ! C’est plus largement à la portée de chacun de nous.