Le réseau d’agences immobilières Guy Hoquet l’Immobilier publie les résultats d’un sondage* mené auprès de ses candidats à la franchise en 2015, soit 1 255 contacts, dessinant ainsi le profil type de l’entrepreneur franchisé dans l’immobilier.
De plus en plus de cadres supérieurs se lancent dans la franchise en immobilier
Le constat n’est pas nouveau mais s’intensifie avec les années : le réseau compte de plus en plus de cadres et de cadres supérieurs dans les rangs de ses candidats à la franchise récents. « L’immobilier, qui affiche un redémarrage prometteur ces derniers temps, attire des profils en quête d’un secteur dynamique. Une sécurité que les cadres supérieurs recherchent, surtout dans une période de crise qui rend leur statut vulnérable. De plus, face à un marché de l’emploi fragile, ces professionnels peuvent peiner à retrouver une situation en phase avec leurs aspirations, et décident de devenir leur propre patron », observe Fabrice Abraham, Directeur Général du réseau GuyHoquet.
Plus de souplesse pour se créer une vie professionnelle sur-mesure
Le phénomène de la crise économique a une autre conséquence : celui du regain de l’entreprenariat familial. « Dans le réseau, nous avons toujours accueilli des entrepreneurs désireux de passer le flambeau à leurs enfants, ou encore un parent et son enfant associés dans le projet d’une agence. Nous constatons que cette situation concerne, dans notre réseau, 1 entrepreneur sur 10 », indique Stéphane Fritz, Directeur du Développement Guy Hoquet. Aujourd’hui, cette tendance est confortée par un marché du travail peu rassurant où les jeunes sont moins aventureux, et plus en recherche de la stabilité qu’offre l’entreprise familiale.
De même, un couple qui veut changer de région pour accéder à une meilleure qualité de vie s’engage plus facilement dans un projet avec un emploi pour chacun de ses membres. Ainsi, une part non négligeable des nouveaux entrepreneurs franchisés Guy Hoquet l’Immobilier entreprend en couple, alors que d’autres emploient leur compagne ou leur compagnon dans la société. « L’entreprenariat en franchise permet aussi de se créer une nouvelle vie sur-mesure, adaptée au projet de vie du moment », observe Stéphane Fritz.
Changer de métier, mais pas forcément de lieu de vie
Le projet principal des candidats à la franchise Guy Hoquet l’immobilier est celui de la reconversion. Un sur deux en effet est un ancien salarié désireux de se mettre à son propre compte. « Quitter le monde des grandes entreprises et du salariat, c’est une aspiration pour beaucoup. Mais, contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, le candidat à la franchise ne recherche pas en priorité de nouveaux horizons géographiques : si plus d’un sur deux souhaite entreprendre dans une nouvelle ville, 80% ne changera pas de département », conclut Stéphane Fritz. ©byBazikPress